vendredi 16 octobre 2009

FROM GROUP LENDING TO LENDING BY A GROUP



From Group Lending to Lending by A Group
By Christophe Villa and Nurmukhammad Yusupov

Theoretical literature on microlending has focused on the case of a single monopolistic MFI despite extensive evidence that multiple banking relationships are widespread among small businesses. Indeed, in France and many other countries, microcredit is being offered in syndication by the local governmental agencies, commercial banks and specialized microfinance institutions at the same time.
This paper develops a theoretical model of microcredit with multiple financial institutions to offer an explanation for the complexity of modern microcredit services. The paper argues that syndication of capital by a specialized MFI, such as France Innitiative (http://www.france-initiative.fr) which offers microfinancing bundled with screening and monitoring tasks, and a traditional financial institution offering capital constitutes Pareto improvement for all participants as opposed to the classical case of a single MFI. The key to the superiority of multiple lender setting is the heterogeneity of the types of financial institutions. A specialized MFI has informational advantage in offering microcredit over non-specialized financial institutions. By teaming up with a non-specialized bank the MFI is able to ease its budget constraints. By taking on junior debt, the MFI is able to increase the interest rate earned on microcredit by lending to the same types of borrowers that it would lend to operating on its own. From the bank's standpoint, by teaming up with the MFI it is able to efficiently outsource monitoring tasks.
Although the discussion in the paper is around financing institutions the idea of the paper applies to a wider variety of institutions. In reality participation in microcredit goes beyond simple provision of capital. For example, there are institutions that participate by providing their expertise, e.g. Micromentor (www.micromentor.org) in the US, or loan guarantees and screening, e.g. France Active (http://www.franceactive.org).
In a broader perspective of economics, the paper is related to the literature on multiple lender financing. It can also be viewed from the standpoint of the literature on cross sector partnership.

1 commentaire:

Jean-Pierre CANOT a dit…

On est atterré par cette importance exagérée donnée à la micro finance, tarte à la crème du moment et dont on attend des miracles ! Le texte qui suit montre que si l’on s’en tient à ce seul modèle qui n’est que la toute première étape du système millénaire de la coopération, il n’en sortira strictement rien. Quand arriverons-nous à comprendre cette évidence ?


MUHAMMAD YUNUS NE FAIT QUE REVENIR ET S’EN TENIR FERMEMENT A LA TOUTE PREMIERE ÉTAPE D’UN MODELE MILLENAIRE !

Muhammad YUNUS et la Grameen Bank du Bengladesh n’ont rien inventé du tout, ce qui n’enlève d’ailleurs rien à leur mérite.

La Grammeen Bank et tous les modèles de micro finance qui en découlent est la première étape du modèle coopératif inventé par les Babyloniens et qui, après l’expérience des pionniers de Rochdale ou des producteurs de micocoulier dans le Gard en France, a été il y a cent ans à la base des modèles européens de la coopération agricole, notamment le Crédit agricole français, que l’on oublie systématiquement dans les programmes de développement, au profit du seul modèle de Muhammad YUNUS porté désormais aux nues.

Le problème est que malgré tous ses mérites, le modèle mis en œuvre dans cette seule première étape, ne marche pas et ne marchera jamais, pas plus d’ailleurs que les modèles coopératifs européens pris dans leur forme actuelle et que nous nous acharnons à développer en vain depuis les indépendances.

Il faut pour mobiliser le maximum de ressource bancaire vers le secteur agricole sous forme de prêts, bancariser les populations rurales de façon à ce que tous les flux financiers résultant de leur activité –essentielle dans les pays en développement, il s’agit du secteur primaire- restent dans ce secteur et ne s’évadent pas vers la banque commerciale, qui dans la meilleure des hypothèses fera semblant d’aider l’agriculture en avançant des fonds aux organismes de micro finance qu’elle crée la plupart du temps sous forme de filiales.

Cette mobilisation indispensable de la ressource de base qui devra d’ailleurs être complétée notamment pour les investissements longs ne peut se faire qu’au travers du modèle coopératif qui a fait ses preuves depuis des siècles.
Encore faudrait-il que ce modèle soit et reste l’authentique, et ne soit pas remplacé par les ersatz infâmes que l’on a vu se développer tant en Afrique que dans les pays communistes et qui ont conduit à la ruine et à l’abandon de ce modèle coopératif .
Ceci ne pourra se faire que par la mise en place de lois et règlements propres à la Coopération Agricole, et qui en retiennent impérativement les authentiques principes de base que j’ai essayé de rappeler dans mon livre :Apprends-nous plutôt à pêcher ! »

Jean-Pierre Canot
Bergerac 12 octobre 2009






Jean-Pierre CANOT Garrigue Route de Mussidan 24100 BERGERAC
T :05 53 57 31 83 apprends-nous.plutot.a.pecher@canot.in
http://jeanpierrecanotbergerac.blogsudouest.com/ http://lafrancetoutfoutlecamp.blogspot.com/